Maison de Eoh et Francisco

05/10/2001

Je fais des recherches internet avec mes contacts pour tenter de trouver si il y a des vampires non autorisé a pénétrer dans la ville qui aurait réussis a passé. Puis je tente de trouver un contact en espagne dans mon ancienne ville en me faisant passer pour un autre pour tenter d'avoir des infos sur l'Ordo Dracul actuel.

Si c'est encore lui qui dirige l'Ordo Dracul il va falloir que je pense sérieusement à l'éliminer.

Tu arrives à contacter des gens en Espagne, qui te disent qu'il est toujours influent, mais qu'officiellement, il n'est plus chef de la ligue.

Aucun intru à signaler pour le moment à Estmarch.

Très bien... J'ai faim, il va falloir que je fasse une sortie.

Je sors de la maison en quête d'une personne pour me nourrir. J'erre dans l'ombre des rues, me cachant grâce a mon pouvoir de dissimulation, attendant qu'une personne passe près d'une ruelle sombre pour lui boire de son sang.

Caché dans l'ombre, tu attends quelques minutes avant qu'un vieil homme, visiblement un clochard hébété, n'arrive. Il s'arrête devant la ruelle, et dit presque en criant:
-Hé, bonjour, jolie rue. Je peux dormir chez vous ce soir?

Il semble attendre un peu puis dit tout bas:
-Merci, vous êtes bien aimable.

Alors qu'il s'approche d'un tas d'ordures où une poubelle parait l'attirer, il passe à portée de vos bras.

Je ne vais pas me rabaisser à boire le sang d'un clochard, je le laisse suivre sa route et attend voir si il n'y a pas une personne en meilleur état qui passerai par là.

Il y a quelques personnes qui passent dans la rue, mais elles sont en groupe. Au bout de quelques temps, ton téléphone sonne.

Le clochard te voit alors, et crie:
-Eh, toi, pti gars, t'aurais pas une piépièce pour un pauvre papy?

Je cherche dans ma poche, et lui tend une pièce, si il n'y a plus personne dans les alentours j'en profite pour lui mettre un coup derrière la nuque pour l'assomer, je le met dans l'ombre et je lui bois un peu de sang, puis lèche la plaie pour la refermer.

Ca ira très bien pour ce soir...

Le clôchard tente de se protéger mais vu son état, il n'y arrive pas et s'effondre dès le premier coups. Tu bois puis voit que c'est un informateur qui t'appelle.

Je décroche le téléphone sans rien dire, attendant d'entendre ce qu'il a à dire. En même temps je prend un billet de 50€ et je le met dans la poche du clochard que je couche dans un tas de poubelles.

Il s'agit d'un ex-flic que tu connais, Léon.

"tu connais l'aversion du prince pour les... Bref, il y en a un. un nouveau qui vient d'arriver en ville. Il a l'air robuste. Vois si tu peux le retrouver, et l'amener au prince, ou au pire... Bref, il est vers l'hopital universitaire. Je te laisse la suite. Pense à me "remercier"."

Il raccroche.

Jeudi 06/10/2001

Bon j'ai un peu de temps devant moi...

Je prend mon téléphone et appel mon contact :

- Salut, je vais passer te voir pour te filer ta récompense, et j'aimerais que tu me dise commet t'as appris que ce vampire était dans la ville, si tu as des infos supplémentaire.

-Ok, rejoignez-moi à l'Elysée. avec ce temps, j'ai pas envie de trainer dehors.

Je vais dans le salon et j'écarte un tableau du 16ème siècle, je tourne doucement le verrou et ouvre la porte du coffre. Je retire une liasse de billet et je la met dans un sac.

Je descend dans la garage, puis je monte sur ma Suzuki et la fait rugir. Puis je sors du garage pour me diriger vers l'Elysée. Dehors le ciel est lourd, le vent est agité et ça ne va pas tarder à pleuvoir. Je roule à toute allure, mon long lanteau noir volant comme le corbeau s'abattant sur sa proie.

Fin de la nuit.

En rentrant de chez le prince, je cherche des proies facil dans la rue, des gens seul, j'effectue ma chasse comme a mon habitude : je me cache dans l'ombre et les assome une fois derrière eux, puis leur bois du sang. J'essaye d'en faire le maximum avant que le jour ne se lève, tout en me dirigeant chez moi.

J'ai réussis a reprendre un peu de sang. Je marche dans les rues sombre, remplies par l'obscurité de la nuit. J'arrive devant mon immeuble lorsque je ressens une sensation que j'avais déjà ressenti autrefois.

Eoh...

Ma moto est à l'élysée, je dois prendre un taxi.

J'essaye d'attraper le premier taxi et me dirige vers l'élysée, je demande au chauffeur de se dépécher en lui tendant une liasse de billet.

Après quelques minutes, grâce à une chance inouïe, vous trouvez un taxi qui vous emmène à l'Elysée.

(hrp: il faudra me dire où vous vivez... )

vous sentez la présence de EOH non loin, mais qui s'éloigne lentement...

Vendredi 07/10/2001

timmy a écrit:

Le lendemain je demande à Fransisco qui l'a vut de pret s'il a vut une particularité chez lui, manteau, visage...
Puis je vais à l'Elysée.

Ensuite, quand tu auras eu ta réponse, tu mettras, dans le post de l'Elysée :

timmy a écrit:

Je demande a Louis s'il a decouvert des traces sur le couteau ou le message.

Et puis il faut attendre que j'ai posté la date et le temps du jour avant de jouer...

- Désolé le combat fut un peu rapide je n'ai pas bien vu son visage, en revanche je peux te dire qu'il a de grosses entailles aux bras fait par mes épées.

Une nouvelle nuit se lève, voilà des décénies que j'èrre dans ce monde, j'ai passé la plupart de ma non-vie à fuir, mais à fuir quoi ? Je côtoie la mort tout les jours sans jamais pouvoir gouter à sa saveur, cette liberté délivrante de ce monde obscur où l'homme n'est que violence envers lui-même.

Je me lève, réponds à Eoh, puis je pars marcher dans la rue, errer et voir ce monde se détruire. Tout est noir, les rues comme le coeur des hommes. Que faut-il que je fasse, tenter de surpasser ma malédiction pour tenter de faire de ce monde un monde meilleur ? Quoi qu'il en soit il faut que je devienne plus fort, et pour cela j'ai besoin de surpasser mon état de non-vivant.

Un passant me bouscule sans même s'excuser, ils ressemblent tous a des pantins dans un mauvais théâtre à marionnettes. Incapable de couper leur ficelles, ils survivent au lieu de vivre, mais alors pourquoi ? Pourquoi continuer de vivre alors que tout n'est que noirceur et désespoir ?

Perdu dans mes pensées je continue de marcher lorsque parmi toute cette obscurité je l'aperçois, seule, éblouissante, un regard doux et un sourir qui réchauffe ce foutu coeur qui ne bats plus depuis longtemps, trop lontemps. Elle ne doit pas avoir 20 ans, elle paraît si pure, comme une goutte de peinture blanche tombé dans une marre noir, repoussant l'obscurité.
Je la regarde passé, elle semble si légère. Elle passe à côté de moi, remarque que je la regarde et souris gentillement. Depuis combien de temps ne m'avait-on pas souris de cette manière ? Elle tourne a l'angle de la rue, je continue mon chemin perdu dans la douceur de son sourire, quand un cri strident viens perturbé mon rêve. C'est elle !

En un instant me voilà dans l'autre rue, elle est allongé sur le sol, baignant dans son sang. Au dessus d'elle deux hommes armé d'un couteau, dont l'un est immaculé de son sang........

Que m'arrive-t'il ? Pourquoi es-ce que je fais tout ça ? D'où me vient ce sentiment de colère ?

Alors que je me pose ces questions je me rend compte que je viens de briser le cou de ces deux pourritures. Je me met genou et prend la tête de la jeune fille pour la mettre sur mes genoux.

Pourquoi la vie d'acharne-t'elle a détruire les anges, l'espoir ? Pourquoi ? POURQUOI ? Je ne vais pas te laisser mourrir, ce n'était pas ton destin.

Elle respire encore, doucement, elle ouvre les yeux, et me regardent de toute sa tristesse.

- Ne pleurez pas...

Me dit-elle gentillement.

Comment ? Pleurer ?

Je passe ma main sur ma joue et m'apercois que des larmes de sang coule malgré moi.
Je la regarde et en lui carressant les cheveux lui demande :

- Es-tu un ange ? Elle me regarde étonné. Veux-tu continuer d'exister à mes côtés ? Laisse moi te sauver comme tu l'as fais avec moi tout à l'heure...

Elle reste un moment sans rien dire, puis me souris et ferme les yeux.

Je plonge mes cros dans sa nuque douce, pour en extraire la moindre parcelle de sang qui lui reste. Puis je m'ouvre le poignet avec le couteau et fais couler mon sang sur ces lèvres...

Le sang coule lentement dans sa bouche. Des passants marchent non loin de vous mais ne voient pas ce qui se passe dans cette ruelle.

Après qu'elle aie bu de votre sang (ajuster vitae dans votre fiche +7(bu) -3(donné)), elle sombre dans l'inconscience. Cela vous rappelle votre étreinte, lorsque vous aviez vous aussi senti ce bien être s'emparer de vous alors que vous vous croyiez mort.

Viens mon enfant...

Je la prend dans les bras et marche vers mon appartement en ayant pris la peine de nous dissimuler. Arriver dans l'appartement je la couche sur mon lit et pre,d mon téléphone pour appeler la prince.

Après une courte conversation :

- Merci, pas de problème.

Je me pose à côté du lit et attend qu'elle se réveille. En attendant j'essaye de repenser a ce qu'il s'est passé ce soir pour tenter de comprendre comment j'en suis arrivé là.

Au bout de quelques minutes elle commence a reprendre connaissance :

- Comment vas-tu ? N'aie pas peur tu es chez moi en sécurité.

Elle reste muette un instant, puis, sans prononcer le moindre mot, mais en poussant de petits plaintes, elle s'agite, tuch sa blessure qui ne saigne pas, mais qui reste béante. Ses yeux expriment une peur encore inconnue.

- N'aie pas peur c'est normal que tu te poses pleins de questions. Mais ne pense plus à rien je t'expliquerai tout. Je t'ai offert l'éternité à la place de la mort. Je suis un vampire et toi aussi désormais tu l'es. Te souviens-tu que je t'ai récupérée après ton agression ? N'aie pas peur je ne te veux pas de mal.

Toujours sans prononcer un mot, elle semble se calmer, et vous regarde d'une manière insistante et touchant sa blessure... Vous sentez une interrogation en elle, mais qu'elle ne peut exprimer par des mots...
De sa main délicate, elle vous prend le bras, et fait glisser sa main de votre poignet à votre main.